Voici déjà le troisième volet de notre voyage au pays des Anémones pulsatilles.Regardons-la évoluer au fil des jours, de la fleur aux fruits. Serait-elle un tantinet cabotine, la Pulsatille ? Certains jours, elle semble en effet saluer un public invisible. Ou bien ce comportement étrange a-t-il des raisons plus pragmatiques ? Pour le savoir, et apprendre bien d’autres choses sur elle, lisez la suite sans plus tarder …
Une étude récente révèle que 571 espèces de plantes ont complètement disparu de la surface de la Terre au cours des 250 dernières années. Cela représente plus du double du nombre d’oiseaux, de mammifères et d’amphibiens qui se sont éteints durant la même période.
Nous continuons notre voyage au pays des Anémones pulsatilles. En chemin nous rencontrerons leurs glandes nectarifères, ainsi que celles de leurs cousines, les autres Renonculacées. Et nous tenterons de comprendre pourquoi elles ont tant de poils.
Dans le nord des États-Unis ainsi qu’au Canada les Hêtres meurent et les scientifiques recherchent fébrilement une explication à cette épidémie. Ils soupçonnent l’action d’un microbe plutôt que d’un insecte. C’est l’occasion pour la Gazette de parler des points faibles du Hêtre.
En vous promenant dans les bois, il y a peu de chances que vous aperceviez un loup ; mais il est fort probable que vous verrez ces drôles de plantules émerger du sol.
Ce billet est une invitation à agiter nos méninges en nous interrogeant sur notre rapport à la nature. François Terrasson, naturaliste et écrivain français, proclamait que Homo sapiens a peur de la nature ; c’est pour cette raison qu’il veut la maîtriser, la contrôler, y compris jusque dans les réserves naturelles. Mais gérer la nature, n’est-ce pas contradictoire ? Nous terminerons cet article en nous demandant quel avenir subsiste-t-il pour la nature réellement sauvage dans un monde de plus en plus urbanisé.
Un complément tout chaud au dernier article qui était consacré au sens du toucher chez les plantes.
Nous aimons toucher les feuilles des plantes, mais ce n’est pas nécessairement une bonne idée. Car on sait désormais qu’elles le sentent, de même qu’elles entendent certains bruits dans leur environnement.
Poursuivons notre étude du Plantain corne-de-cerf.